
Le Calvaire de Regina LOUF ou X1
Cette histoire risque de mettre la société belge à genoux. C'est un récit sordide qui a fait de son auteur l'un des personnages les plus diabolisés de son pays. L'histoire de l'enfance Regina Louf, au cours de laquelle elle fut l'esclave sexuelle de certaines des personnes les plus puissantes du monde politique et commercial belge est une bombe à retardement.
D'après le témoignage de Louf, son cauchemar a commencé lorsqu' elle avait moins de trois ans. Envoyée vivre chez sa grand-mère dans la jolie station balnéaire de Knokke à la mer du Nord, Louf fut abusée par des dizaines d'hommes jusqu'à l'âge de douze ans. Parmi ceux qu'elle désigne comme ayant abusé d'elle lors de parties fines, se trouvaient quelques citoyens belges connus puissants- et pédophiles. Notamment, dit-elle, un politicien important aujourd'hui décédé, et un homme qui est toujours actif dans la politique européenne, des politiciens et des hommes d'affaires très connus.
A son retour chez ses parents à Gand, lorsqu' elle avait 12 ans, elle fut donnée à l'amant de sa mère, qui devint son souteneur. Il l'obligeait à avoir des relations sexuelles avec lui et la prêtait à d'autres hommes contre de l'argent. Avec d'autres jeunes filles de son âge, elle fournissait des services sexuels à Bruxelles et Anvers, et même sur un yacht, propriété d'un belge fortuné. Certaines de ses amies ont survécu. D'autres sont mortes, et font partie des centaines d'enfants disparus, supposés morts, dans le pays où siègent les structures clefs de l'Union européenne.
Regina Louf a commencé à raconter ses horribles histoires en 1996,lorsqu'on découvrit les corps de deux fillettes dans la maison de Dutroux- l'homme qui volait des enfants pour les livrer à des pédophiles. Elle a reconnu Dutroux, accusé d'avoir kidnappé et tué des jeunes filles dont les corps furent retrouvés dans sa propriété. Louf réalisa la chance qu'elle avait d'être encore en vie.
Elle conteste la version officielle qui veut que Dutroux agissait seul et qu'il n'est pas membre d'un réseau pédophile. De plus, elle a affirmé que Dutroux etd'autres étaient protégés par des gens puissants, notamment des juges et des policiers. Les Belges, qui sont descendus dans la rue par centaines de milliers pour protester contre la manière dont les autorités avaient permis à Dutroux d'exercer son horrible commerce sans intervenir, semblaient partager l'avis de Louf. Globalement pourtant, les médias belges et l'establishment politique l'ont démolie en la décrivant comme une mythomane. Ceci aurait sans doute été la fin de l'affaire, s'il n'y avait eu les policiers qui ont examiné très soigneusement ses déclarations.
Elle fut entendue par l'adjudant Patriek De Baets et lui raconta son histoire en détails, en donnant les noms des personnes connues dont elle affirmait qu'ils étaient des pédophiles. Il il fit des vérifications. Lui et ses collègues interrogèrent Louf et d'autres personnes, entre autres sa mère et son ancien souteneur, qui confirmèrent ce qu'elle racontait à propos des abus qu'elle avait subis quand elle était enfant. Le jour où le souteneur reconnut qu'il avait eu des relations sexuelles avec Louf quand elle avait 12 ans, l'enquête de De Baets fut close - le même jour où Dutroux s'évadait [brièvement].
Au lieu de recevoir des moyens de vérifier ses dires, d'interviewer d'autres victimes dont elle avait cité le nom et d'enquêter sur les centaines de jeunes filles mystérieusement disparues et décédées dans les années 70, 80 et 90, De Baets et son équipe furent écartés de l'enquête. Accusé d'avoir fabriqué des preuves et d'avoir suggéré des réponses à Louf, De Baets apassé ces quatre dernières années à tenter de laver son nom. Dans une saga qui rappelle l'affaire Stalker dans le nord, les policiers qui avaient eu pour mission de trouver la vérité ont vu leur hiérarchie se retourner contre eux. L'an dernier, toutes les charges et accusations portées contre De Baets ont été levées et il fut réintégré comme officier supérieur dans l'école de recherche de la police fédérale à Bruxelles.
De Baets ne croit pas que Dutroux agissait seul. Il est convaincu qu'il y a des protections bien organisées qui couvrent un scandale d'abus d'enfants qui dure depuis longtemps. Ce qui semble crucial, c'est que certains éléments clef des témoignages de Louf sont corroborés par d'autres témoignages de victimes et de psychiatres qui ont examiné la jeune femme. De Baets et Olivier Dupuis, un Parlementaire européen belge qui représente une section locale dans le nord de l'Italie, sont d'accord sur le fait qu'il y a des protections qui sont exercées depuis les plus hautes sphères de la société.
Louf, qui vit maintenant avec son mari Erwin et leurs quatre enfants, tient une animalerie - pour chiens, chats et chevaux - près de Gand, est déterminée à faire entendre sa voix. C'est la découverte des enfants kidnappées et assassinées en 1996 et l'arrestation spectaculaire de Marc Dutroux et son associé, Michel Nihoul, qui la poussèrent à révéler ses cauchemars du passé.
"Quand j'ai vu qu'il avait été arrêté, j'ai témoigné auprès de la gendarmerie que j'avais vu Dutroux et Nihoul ensemble des années auparavant à Bruxelles,"a déclaré Louf au Sunday Business Post, chez elle à Gand". J'étais une enfant prostituée, mon souteneur était un ami de la famille. Je savais que Dutroux recherchait des filles qu'il entraînait à satisfaire des pédophiles et des hommes qui voulaient avoir des rapports sexuels avec de jeunes enfants. J'ai assisté au meurtre de certains enfants, je n'étais donc pas fort surprise quand ils ont trouvé Dutroux et les corps. Plus tard, la police a fait le lien entre une fille disparue retrouvée morte et moi."
Louf affirme connaître trois filles retrouvées mortes dans les années 80 et 90 en Belgique. Carine Dellaert avait 15 ans quand elle fut enlevée en 1982. Son corps fut retrouvé à Gand un an plus tard. Christine Van Hees avait 14 ans quand on la retrouva morte à Bruxelles en 1984. Catherine De Cuyper avait16 ans quand on découvrit sa dépouille à Anvers en 1991. "Carine était ma meilleur amie" dit Louf. "On avait abusé d'elle quand elle était encore une petite fille. Les hommes qui abusaient de moi n'étaient pas toujours des politiciens ou de grands avocats, mais beaucoup d'entre eux avaient des moyens et étaient influents. Il y avait parmi eux des médecins, des avocats,des juges et des hommes d'affaires. Je les rencontrais dans des villas des environs de Bruxelles. J'avais appris à avoir des relations sado-masochistes et des relations sexuelles," dit-elle. Des films pornographiques étaient réalisés et on faisait des photos. J'avais presque 16 ans quand j'ai rencontré mon mari en 1984 et que j'ai échappé à ces gens."
Cela lui prit des années avant de rompre définitivement avec son souteneur, parce qu'il essayait, avec des complices, de l'impliquer dans des meurtres dont elle avait été le témoin. "J'ai été abusée sexuellement, et quand ça avait été trop loin pour moi, ils appelaient des médecins pour m'aider. Je sais qu'ils avaient également "entraîné" des enfants âgés de trois ans. Il faut avoir un instinct de survie très fort et apprendre à maîtriser la douleur. Vous apprenez à ne pas hurler et ne pas pleurer, à composer des attitudes, à être loyal et à considérer ces hommes comme s'ils étaient vos dieux."
"Je me souviens de beaucoup de noms, mais pas de tous. Je les ai dits à la police . J'ai cité de politiciens (nommé), des médecins, des avocats, des juges et deshommes d'affaires. Bien sûr, on a affirmé que j'avais simplement repris ces noms de la télévision, mais la plupart de ces personnes ne sont jamais apparues à la télévision. Mais certains d'entre eux étaient très connus. Un ancien grand politicien (elle cite le nom) est actuellement décédé. Un autre (elle cite le nom) est toujours en politique à un niveau élevé. Une personne fait partie de l'industrie des armements (elle cite le nom), un autre travaille dans le cinéma (elle cite le nom), un autre est dans le commerce des vêtements (elle cite le nom). Mon souteneur a reconnu auprès de la police qu'il a abusé de moi pendant des années, mais il n'a jamais été inculpé. Il n'a pas non plus cité le nom des nombreux clients que j'ai satisfaits pour lui."
Le 9 septembre 1996, Louf fut entendue pour la première fois par Patriek DeBaets et les officiers désignés pour enquêter sur l'industrie pédo-pornographique après l'arrestation de Marc Dutroux."Ils m'ont prise au sérieux. Il n'était pas question de croyance. Ils se sont aperçus que ce que je leur disais correspondait à leurs recherches. Après plusieurs mois, ils furent écartés de l'enquête et accusés de m'avoir manipulée. Actuellement, ils ont été réhabilités. Certains de mes clients faisaient partie de la gendarmerie."
Une affaire célèbre de corruption datant de la fin des années 70 impliquant un réseau fournissant des prostituées à des hommes d'affaires, notamment étrangers, correspond aux allégations de Louf. On les compromettait en les photographiant au lit avec des enfants. Des contrats commerciaux juteux étaient assurés par le chantage à la pédo-pornographie.
L'un des juges (nom connu) qu'elle rencontra lors d'une partouze, était impliqué dans l'enquête sur l'une des jeunes filles qu'on avait retrouvées mortes après leurs disparitions. Les enquêtes ne menèrent ni à des arrestations ni à des condamnations.
"Ma mère est décédée en 1998, mais mon père vit toujours," dit-elle. Elle affirme que son père nie ce qui s'est passé. Avant de décéder, la mère de Louf a reconnu qu'elle avait autorisé sa fille à être prostituée par sa grand mère et par le souteneur qui s'occupa d'elle ensuite. D'après De Baets, la mère de Louf avait elle-même été victime d'abus sexuels massifs organisés par sa propre mère à Knokke.
"Quand j'étais avec ma grand mère, depuis l'âge d'un an et demi jusqu'à l'âge de 12 ans, j'étais abusée sans arrêt," déclare Louf. Lorsque j'ai eu 12 ans,j'en ai parlé au principal de mon école qui lui-même est allé parler à ma grand-mère. Elle m'a envoyée chez mes parents à Gand en prétendant que j'étais folle. Je pensais que c'en était fini des abus, mais ma mère m'a prêtée à son amant (cite le nom). Cet homme prêtait des enfants contre de l'argent. Il avait la clef de notre maison et venait me violer quand bon lui semblait. Quand j'en ai parlé à un professeur à Gand, celui-ci est allé voir mes parents, puis il m'a accusée d'avoir inventé des histoires.
"Un jour je me suis retrouvée sur un yacht avec (le politicien connu). Je le rencontrais à Bruxelles, à Gand et Anvers, parfois deux à trois fois par mois.Le bateau appartenait à (elle cite le nom) qui est très riche. Je me souviens du nom du bateau, de la couleur du mobilier. Je me souviens même de l'immatriculation de son véhicule et je peux le décrire."
Le politicien belge a nié auprès du Sunday Business Post avoir jamais assisté à des partouzes, bien qu'il confirme avoir été sur le bateau de l'homme d'affaires. Il conteste certains points du récit de Louf et déclare qu'il ne l'a jamais rencontrée de sa vie. Louf est formelle quant au fait qu'elle connaissait cet homme et qu'il participait à des orgies en différents endroits.
"J'ai raconté tout cela à la police, mais je pense qu'il n'arrivera jamais rien aux auteurs" dit Louf. L'un des procureurs chargés de l'enquête a déclaré que même si 5 % de ce que je disais était vrai, cela constituerait un scandale qui ferait exploser la Belgique. Il existe également des liens avec les Pays-Bas et la France. Ces personnes enlevaient des filles dans la rue. Quand on a arrêté Dutroux, j'ai cru que les autres tomberaient, mais la police belge et les médias ne recherchent pas la vérité."
La police a maintenant préparé deux versions contradictoires de son témoignage. Elle a rédigé sa propre version, qui a été traduite en français et en anglais. Son histoire ne disparaîtra pas.
Pourquoi
il faut écouter
il faut écouter
Régina Louf
À l'encontre de l'opinion la plus répandue selon laquelle elle est une folle ou une agitatrice, le psychiatre Marc Reisinger s'est engagé dans la défense de Regina Louf. Pourquoi ? C'est ce qu'il essaie inlassablement d'expliquer,jusque dans la postface du livre où elle publie ses mémoires.
L'affaire Dutroux, depuis qu'elle a éclaté au grand jour, a été l'occasion d'une livraison régulière d'ouvrages qui tentent d'apporter leur éclairage sur tel outel aspect de la problématique. Maltraitance d'enfants et crise de la justice,guerre des polices ou capacité d'une société démocratique à bien gérer ses faits-divers, entre le secret de l'instruction, les droits de la défense et la protection des victimes... alimentent la réflexion de journalistes et d'intellectuels. Et voici que l'un des témoins de Neufchâteau dans la thèse d'un réseau de pédophilie, Regina Louf, alias X1, a elle aussi pris la plume. Dans Silence on tue des enfants !, elle raconte le long calvaire de son enfance et de son adolescence, prostituée dès son plus jeune âge par sa grand-mère puis par un ami de ses parents, et poursuit en décrivant l'enquête qui a tourné autour de sa déposition, et l'extraordinaire campagne de dénigrement dont elle-même fait l'objet depuis plus d'un an.
Ni folle, ni mythomane
concluent les médecins !
concluent les médecins !
Face à ce livre, il ne s'agit certainement pas de se positionner en sceptique ou en convaincu avant de l'avoir lu. Car, pour insoutenable qu'il soit parfois, il donne à comprendre de l'intérieur les mécanismes qui permettent à des adultes pervers d'installer et de maintenir leur domination sur des enfants, et le processus qui permet à des victimes de résister à une souffrance inhumaine. Or,si le discours ambiant fait de Regina une folle et une affabulatrice, c'est totalement à l'encontre de l'expertise rendue en septembre 97 par un collège de psychiatres menés par le Pr Igodt, de la KUL, à la demande de Neufchâteau. Pour eux, cela ne fait aucun doute, vraiment elle a été traumatisée par des abus sexuels massifs mais grâce à une thérapie qui a duré des années, elle a retrouvé un équilibre. Le témoin peut donc être utilisé comme un élément de l'enquête, concluent-ils, ajoutant que son témoignage seul ne peut être considéré comme une preuve ensoi. Sauf à être confirmé par une source indépendante.
Le Dr Marc Reisinger est comme tout le monde. Dès qu'il en entend parler, ce récit deX1 le choque, lui semble inimaginable. Mais ce n'est pas parce que ce qu'elle décrit est incroyable qu'elle l'a inventé, ni parce que c'est révoltant qu'elle est une agitatrice, comme on l'a lu par ailleurs. A ses yeux, face au dilemme qu'inspire le témoignage de Regina, la seule attitude valable est d'écouter et de chercher à s'informer. C'est pourquoi lui a continué à se renseigner. Et que constate-t-il ? Qu'il existe un hiatus de plus en plus grand entre les faits décrits par la jeune femme et le discours tenu à son propos. Or, il peut être raisonnable de se fier à l'opinion générale dans des matières que l'on connaît mal, dit-il ; par contre, lorsqu'on approfondit un sujet, il ne faut pas se soumettre aux idées reçues, mais en revenir à un questionnement inlassable. C'est le fondement même de la pensée rationnelle, avec Platon qui distinguait l'opinion (doxa) du savoir (scientia). Et lorsqu'elle s'avère non fondée, il faut pouvoir défier l'opinion.
C'est pourquoi, au moment où la presse se met à vilipender Regina Louf sans autrement relayer les déclarations qu'elle a faites, Reisinger souhaite ramener un peu de raison dans le débat. Avec d'autres, il crée une ASBL dont l'objet est de faire connaître la gravité des événements qu'elle décrit et de surtout mettre en évidence les questions en suspens, qui s'accumulent de manière qu'il juge malsaine. Mais en fait de débat, l'on parla alors de volonté de déstabiliser lajustice, et la controverse prit l'allure d'une véritable chasse aux sorcières.
Lire, et penser tout seul
Depuis, Regina Louf a publié son livre, qui parle pour elle-même, et Marc Reisinger l'a postfacé. Le moins que l'on puisse faire n'est-il pas de les écouter, et d'accepter la confrontation avec un récit aussi pudique, quoi qu'on en dise, qu'il était possible, plutôt que de s'en remettre au jugement des autres, au risque de cautionner l'instauration d'une pensée unique... Ces pages, comme le dit le Pr Léon Schwartzenberg, sont autre chose qu'un livre : c'est un cri maintes fois répété qui aurait envie d'être un hurlement pour la terre entière et qui, devant la surdité du monde, devient un gémissement, une longue plainte solitaire, des sanglots, des pleurs qui finissent par s'assécher, tant ce que vit cette petite fille est au-delà des larmes.
http://www.dailymotion.com/playlist/x18mwo_Tonino17-_regina-louf
Silence on tue des enfants ! par Regina Louf, préface de Léon Schwartzenberg,postface de Marc Reisinger, aux Editions Mols, collection Pour la vérité, 318pages.
PEDOPHILIE ET CINQUIEME REPUBLIQUE
Posted on : 03/10,2010

En 1842, la Scala commande un opéra à l’un de mes ascendants, Nabucodonosor, et c'est un immense triomphe.
C'est dans cette œuvre, qu'apparaît le génie novateur de Verdi : un langage lyrique violent et populaire,où le peuple émerge à travers les chœurs comme un personnage épique et indestructible.
Je vous transmets certaines questions qui devraient vous amener à comprendre les dérives d’un SSystème.
1 : La Boîte(DGSE) a perdu deux de ses hommes le 30/03/09 par la déflagration des explosifs placés sur un
véhicule. Mais pour quel type d’entraînement, certainement pas d’OP du style SATANIC ?
La DGSE compte 4.500 agents, dont 3.200 civils, et 1.300 militaires pour un budget de 450 millions d'euros, sans compter les fonds spéciaux. Elle appartient à la communauté française du renseignement (14.000 hommes et femmes) et a succédé en 1982 au Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (Sdece).
2 : Les Réseaux Pédophiles sont le socle qui canalise de nombreuses actions des services de renseignement.
3 : Les Politiques Français et Etrangers couvrent ces réseaux car beaucoup trop de notables y participent.
4 : Marcel VERVLOESEM est torturé quotidiennement.
5 : BOULIN aurait été assassiné par le réseau FOCCART pour couvrir la corruption politique.
6 : Le 11/09/01 des explosifs militaires auraient été utilisés à NY pour les deux tours du WTC.
7 : JPK serait mort pour 300 Millions d’Euros , BEREGOVOY pour 3,5 Milliards de dollars versés en SUISSE.
8 : La Cinquième République a révélé intégralement le pouvoir des affairistes de la Franc-Maçonnerie et du code 322.
Le Virus ANTI-POLITICO-PEDOPHILE se propage donc désormais comme une traînée de Poudre sur L’UE :
Liste des REVOLUTIONNAIRES COURAGEUX qui refusent ou ont refusé avec courage de se taire :
nnes :
Serge Garde
Laurence Beneux
Procureur Bréard
Jean Pierre Mocky
gendarmeGut Geubels (RIP)
Capitaine de police Alain Vidal
gendarme jambert(RIP)
inspecteur Jean-marc Houdmont (RIP)
gendarme roussel
policier marc silva
patricia poupard
gendarme stan maillaud
fils de juge assassiné Charles et diane Roche,
Les princesses de croy
Maria Maoloni,
Karl zéro,
olivierBonnet,
MarcelVervloesem,
Martine Nisse,
Martine Bouillon,
george glatz,
Jan Boeykens,
Mais aussi :
Le Policier Patrice VERDI qui a été déclaré sain d’esprit par le Professeur ROURE (C’est ennuyeux pour BCP de MONDE)
Les 15 parlementaires qui demandent des explications sur la mort du juge Pierre Roche, et tant d'autres qui dénoncent ces crimes odieux et
sont aussitôt traités de FOUS ou de menteurs.
MESSAGE PERSONNEL
A TOUS LES CITOYENS
PROTEGEZ VOS LIBERTES , ELLES DISPARAISSENT COMME VOS ENFANTS !
PS : A CANNES ON ENFERME PAS LES ORDURES
ON LES PROTEGE DEPUIS TROP LONGTEMPS!!!
PEDOPHILIE ET CINQUIEME REPUBLIQUE
Jean-Pierre MOCKY
CENSURE
Avec Les ballets écarlates, Jean-pierreMocky s'attaque à l'un des sujets les plus douloureux de notre société : la pédophilie. Si le cinéaste a déjà traité ce thème (Noir Comme Le Souvenir et Le Témoin),il l'aborde ici de manière abrupte et violente. Entre militantisme forcené et dénonciation agressive, Les ballets écarlates s'impose comme le film le plus éprouvant jamais réalisé par Mocky. Dès les premières minutes, il dévoile ses intentions : des enfants de 7 à 10 ans, réunis dans une belle et immense demeure, se dénudent etrejoignent un salon où les attendent des notables pervers et obscènes. Le ton est donné. Jean-pierre Mocky filme la scène avec toute la froideur et la cruauté qu'exige un tel sujet. A l'origine du scénario, l'enlèvement de la petite fille d'un journaliste de France Info. Libérée trois jours plus tard, la fillette traumatisée n'a pas prononcé un mot depuis des mois. "La presse s'empare de ces crimes, mais elle parle moins des jeunes victimes de rapt qui reviennent à la maison", explique le réalisateur. D'où l'intrigue des ballets écarlates. Celle de cette mère qui voit débarquer chez elle un enfant échappé du réseau pédophile et qui décide de faire justice elle-même. AvecLes Ballets écarlates,Mocky se montre radical et sans compromis.
MARCEL VERVLOESEM EST UN DETENU POLITIQUE BELGE QUI EST EMPRISONNE
ET ISOLE ACTUELLEMENT A ST GILLES POUR LA PROTECTION JUDICIAIRE ET POLITIQUE
DES RESEAUX PEDOPHILES MAFIEUX QUE CET HOMME A DENONCE PUBLIQUEMENT.
LIBERONS CET HOMME MOURANT DES TORTURES MORALES ET PHYSIQUES QUE L’UE
FAIT SUBIR A CE DREYFUS DU XXIe SIECLE.
DROIT AU COEUR
Posted on : 02/19,2010

Isolation "Sauce Cocaïne" Pour Marcel Vervloesem
Posted on : 02/12,2010

Isolation "sauce cocaïne" pour Marcel Vervloesem
Marcel Vervloesem, qui a remis aux autorités le fichier de 88'539 photos de crimes réels en 1998, est infligé l’isolation complète, dés que son ONG, le Werkgroep Morkhoven, retrouve une victime vivante. Il a été transféré à la prison de St Gilles à Bruxelles pour un traitement ambulatoire de crimes qu'il est reconnu physiquement incapable d'avoir exécuté. Il est objet d’un règlement inconnu du personnel de la prison, quand on a téléphoné pour connaître les horaires des visites. Il n'a pas pu voir ses collaborateurs et téléphoner, même à sa famille.
L'Etat traite les visiteurs de la prison de St Gilles comme des chiens, infligés des heures d’attente, debout dans une file qui n’en finit pas, dans le vent, le froid et la pluie. Ceux qui n’ont pas la santé pour supporter ces conditions sont dans l’impossibilité physique de voir leurs proches.
Nous, "race humaine inférieure", pouvons toutefois faire des découvertes fascinantes, en faisant causette dans la file de la prison de St Gilles. Il paraît que les conditions de détentions favorables s’obtiennent des fonctionnaires pénitentiaires de toutes les prisons, en échange d’adresses où trouver de la drogue chic et pas chère. On comprend donc comment un voyou quasi illettré, proche d’un gang criminel qui est actif dans le trafic de drogues, la prostitution et la pornographie, parvient à publier sur Internet, toutes les conclusions sur le sort réservé à Marcel Vervloesem, longtemps avant qu’elles ne soient officielles!
C'est assez logique quand l'ex-ministre de la Justice et actuel ministre de la santé plaide pour que tous puissent se déshydrater la cervelle et les émotions sans risque, grâce à des tests gratuits de la qualité de la cocaïne. La drogue donne une illusion d'invulnérabilité et de génie, qui peut mener à croire a un "droit de vie ou de mort" sur autrui. Il y a assez de toxicomanes dans les prisons pour comprendre que les fonctions décisionnelles doivent être strictement interdites aux toxicomanes, quelque soit leur niveau d'éducation. Accepter des toxicomanes dans l'administration est irresponsable et inacceptable, en raison du potentiel de stupidité et de cruauté que peut engendrer la consommation de la drogue.
En 2005, à l’occasion d’une détention préventive illégale de Marcel Vervloesem, le ministère de la justice répondait en riant: "Mais non, on ne le réveille pas tous les quarts d’heure. On va juste voir s’il n’est pas mort." Un attaché à la direction de la prison de Turnhout avait alors eu le coup de génie de porter plainte pour une menace représentée par une plainte contre X pour non-assistance à personne en danger.
La toxicomanie peut expliquer l'incroyable désordre dans les services psychosociaux de l'état. Les pièces se perdent. Certains fonctionaires se prétendent en vacances durant trois mois, d'autres brutalisent les prisonniers par des menaces. Le manque de ligne conductrice entre les dossiers laisse penser à un mélange de corruption et de travail désastreux du à la drogue. L'isolation de Marcel Vervloesem pourrait être expliquée par un oubli "sauce cocaïne" de transmettre la liste des personnes qu'il est autorisé à voir, mais il est objet de telles persécutions, qu'on doute d'un accident.
A présent, Marcel Vervloesem est le seul prisonnier à qui il est interdit d’être jugé ou hospitalisé dans sa juridiction pour des motifs que l’invulnérable Stefaan De Clerk, l’actuel ministre de la justice, est trop génial pour avoir besoin d’expliquer. Nous, race inférieure, devrions croire qu’un nouveau règlement obligerait les prisonniers à suivre le juge d’application des peines en dehors de leur juridiction, comme si la fonction de juge suppléant avait été abolie.
L'assistant, qui se sentait menacé par une plainte de non assistance à personne en danger, a entre-temps raté son examen pour devenir directeur de la prison de Turnhout. Il est devenu président du collège du personnel, une fonction qui requiert son avis sur la requête d'un prisonnier, sans que les membres du personnel ne doivent voter par oui ou par non à des questions précises. Le dernier collège du personnel était favorable à libération de Marcel Vervloesem pour raison de santé. Celui-ci rejoint l'avis des trafiquants de drogue. Si l’histoire doit se répéter, le tribunal d’application des peines de Hasselt se contentera de remplacer l’orthographe phonétique des trafiquants, par l’orthographe du juge.
Les trafiquants de drogues estiment que Marcel Vervloesem ne peut sortir de prison, ni avoir accès aux traitements médicaux dont sa vie dépend, tant qu’il n’avoue pas les crimes dont ils l’ont accusés, si incohérents, que pas un seul tribunal, même saupoudré de cocaïne n'aurait trouvé le moyen d’accréditer. Les trafiquants pensent qu'un cancer triplement métastasé de 5 ans, un diabète insulinodépendant, des dysfonctions graves des reins, du cœur et du pancréas sont de la "propre faute" de Marcel Vervloesem, comme leur médecins attribuent les séquelles de leur toxicomanie a "leur propre faute".
L’an dernier, le Dr Van Mol, médecin chef de toutes les prisons belges, a eu l’originalité de retenir le diagnostique des trafiquants de drogue, en assurant que les maladies de Marcel Vervloesem étaient "de sa propre faute", entre autres parce qu’il serait fumeur, alors qu’il n’a jamais fumé de sa vie. Il interdit son hospitalisation tant qu'il ne soit dans le coma ou que les médecins pensent qu'il n'a plus que trois jours à vivre.
Depuis, le nouveau président du collège du personnel s’est basé sur ses feuilles de cantine de Marcel Vervloesem pour assurer qu'il serait le seul à blâmer pour ses maladies non traitées, qui seraient à présent "à 50% de sa faute", parce qu’il commande des fruits, ce qu’il confond intelligemment à "des sucreries".
Les trafiquants sont satisfaits de la censure des médias qu’ils approvisionnent en drogue, mais allergiques à l’exposition de leurs secrets par les ONG des droits de l’homme. Leur seul desideratum que la juge Gossens n’a pas retenu, est de faire châtrer Marcel Vervloesem, comme certains d’entre eux l’ont été dans les pays gouvernés par la charia. A présent, le tribunal d’application des peines de Hasselt devrait interdire à un homme de louer un appartement dans une maison où personne n’a de casier judiciaire, au motif que les ONG des droits de l’homme sont domiciliées à l’étage.
"Le problème", selon celui qui n’a pas les capacités pour devenir directeur de prison, c’est que "ce sont des gens qui le défendent". Marcel Vervloesem ne serait pas admissible à la surveillance électronique, la liberté provisoire, les congés pénitentiaires et journées de divertissement, à nouveau "de sa propre faute", parce qu’il "n’aurait pas du choisir Bruxelles pour adresse de réinsertion et de réhabilitation. [...] Tous ces idiots et ces organisations feraient mieux d’écrire que M. Vervloesem a été condamné d'une manière légale. [...] Nous ne voulons pas de lettres sur 'le meurtre de Marcel Vervloesem'. [...] Cour européenne des droits l’homme ou non, cela nous intéresse pas. Il a été condamné en Belgique en toute légalité. S'il admet sa culpabilité, il gagnera tout. C'est aussi simple que ça", a dit l'invincible génie.
Le tribunal de Turnhout instruit les plaintes de trois prisonniers contre de ce fonctionnaire. Nous invitons les plaignants à demander un examen de recherche de toxiques pour définir s'il se drogue, au motif qu'il en porte tous les stigmates, dont une irresponsabilité morbide aigue. C'est aussi simple que ça!
La seule solution pour arrêter l'abus de situation de faiblesse des prisonniers est de confier à l’armée de diriger les prisons, à la mode militaire, strictement selon le règlement, avec Cour Martiale pour les soldats qui se laissent tenter par la drogue.
Infraction À La Législation Des Stupéfiants
Posted on : 02/01,2010
Infraction à la Législation des Stupéfiants
Le Samedi 23/01/10 à 18h30 se présente au domicile de mon frère Adulte Handicapé le Gendarme Golf (Code Radio) qui me demande les raisons de l’envoi de mon courrier en date du 20/01/10 au DGGN, le Général d’armée Roland GILLES, mais également à L’ITGN, et à bien d’autres personnes…
J’ai simplement répondu au Gendarme Golf que je ne m’appelais pas JAMBERT, ni ROUSSEL , ni ROCHE ( Beaucoup Trop de Monde comprendra malheureusement mon comportement ).
Je lui ai imprimé sur le matériel informatique de mon Frère, le courrier en date du 23/01/10 transmis au commandant LUHERN de la Brigade de Gendarmerie de Mandelieu.
Nous avons évoqué le fait que je ne retirerai pas ma plainte même si tout cela semblait apparemment anodin et que je me réservais toutefois le droit de l’utiliser ultérieurement.
J’ai déclaré au Gendarme Golf que je soupçonnais certaines plaignantes d’être souvent en ILS devant l’établissement concerné pendant qu’elles venaient chercher leurs enfants.
En effet, tous les services de Police ou de Gendarmerie qui semblent s’intéresser aux nombres de jours consécutifs que je porte à l’attention de mon frère lourdement handicapé afin d’empêcher à moyen ou long terme la réinscription de mes enfants sur la commune de Mandelieu le Napoule en précisant que je suis reçu trop souvent chez mes parents, n’ont jamais remarqué que je me garais parfois sur le parking situé au 22 avenue Janvier Passero environ 30 minutes avant la sortie des classes.
A cet endroit bien particulier, je peux facilement voir tout ce qui se passe, devant l’immeuble le Grand Près.
Donc si je faisais partie du service des stupéfiants dont la charge incombe autant à toute BT ou BR et autres mais aussi à tout fonctionnaire de PN ou PM, je ferai une enquête serrée concernant les locataires de cet immeuble qui se trouvent à 200 mètres de l’école Marie Curie.
Ce qui interpellait le Gendarme Golf même s’il m’a déclaré qu’effectivement l’ILS était un délit très grave à ses yeux comme aux miens,c’était paradoxalement mon adresse ; même si la loi ne m’impose pas de rester chez mon ami à MANDELIEU où j’ai domicilié mon contrat d’assurance habitation ; plutôt que d’aller porter assistance régulièrement avec mon épouse, à mes parents âgés et usés par notre situation sociale bien particulière ainsi qu’à mon frère lourdement handicapé.
Il apparaît clairement que les incidents du 15/09/09 au 18/09/09,les menaces qui ont suivi devant des caméras et des témoins assermentés prouve que la bulle volontaire ou involontaire qui couvrait les ILS ou autres infractions de certaines personnes qui se sentaient apparemment au dessus des lois, a subitement explosé.
La difficulté de réinscription de mes deux enfants dans la commune de Mandelieu la Napoule où je réside prouvera à moyen ou long terme l’acharnement social de certains fonctionnaires qui ne semblent pas véritablement apprécier les faits probants que je dénonce comme l’impose la loi et qui font paradoxalement une enquête sociale sur ma famille alors qu’une attention particulière de tous mes faits m’est imposé depuis l’émission de mon rapport de pédophilie à CANNES en 2001.
PS : Je me réserve le droit de diffuser cet article à l’ensemble des autorités de Police et de Justice Européennes afin que cesse l’attitude de l’Administration Française qui focalise sur les détails de la vie de l’ensemble de ma famille alors que des crimes ou des délits flagrants sont couverts depuis bien trop longtemps par la puissance sociale de certains politiques qui souhaitent que mes enfants soient scolarisés dans cette belle ville de CANNES où tout le Monde connaît les liens particuliers qui me lient à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND qui règne avec son équipe municipale bien particulière et même plutôt atypique sur toutes les administrations de sa commune y compris sur l’ensemble des établissements scolaires qui pourraient bien vouloir exposer volontairement mes enfants à un traitement aussi particulier que celui que je subis avec mon épouse depuis des années.
CAA De MARSEILLE : Un Dossier Trop LOURD Pour LEGER
Posted on : 01/28,2010
MonsieurVERDI Patrice Cannes laBocca le 25/01/10
à
Monsieur le Président Jacques LEGER
Cour Administrative d’Appel de Marseille
45 boulevard Paul-Peytral
13291 Marseille Cedex 06
Téléphone : 04 91 04 45 45
Télécopie : 04 91 04 45 00
Courriel : greffe.caa-marseille@juradm.fr
13291 Marseille Cedex 06
Téléphone : 04 91 04 45 45
Télécopie : 04 91 04 45 00
Courriel : greffe.caa-marseille@juradm.fr
Monsieur le Président,
J’ai reçu le 19/10/09 une LR quime préconisait subitement l’assistance d’un avocat dans l’affaire N° 09MA03146sous peine d’irrecevabilité de ma requête pour excès de pouvoir contre la villede CANNES dans un délai très court d’un mois.
Je tiens à vous préciser que ce courrier ne me préconisaitpas paradoxalement l’assistance d’un avocat concernant le dossier N° 09MA03147qui est également enregistré par vos instances pour excès de pouvoir contrel’administration CANNOISE à laquelle je demande également 1 Million d’euros dedommages et intérêts pour le délit réitéré pendant des années de retard depaiement de mes indemnités mensuelles sur ordre de subordination ou simplementpar volonté personnelle délictuelle du receveur percepteur municipal qui aentraîné des problèmes sociaux discriminatoires totalement probants etinadmissibles.
La CAA de Marseille a donc légalement tenté de rendreirrecevable mes plaintes après les avoir enregistrées.
Je viens de recevoir les quelques pièces du mémoire endéfense concernant les deux affaires ;
Il apparaît clairement que la Ville de CANNES ne tient pasà aborder les sujets relatifs à tous mes courriers qui insistent sur laviolation de mes droits de fonctionnaires mais aussi de père de famille et decitoyen sans chercher à comprendre une quelconque causalité qui expliquerait lelien de cette conjuration politique entre mon exclusion sociale, les réseauxpédophiles et l’omerta publique liée à ce problème sociologique contemporainqui a été résumé avec perspicacité sur la toile par l’association Princesses deCROY et MassimoLancellotti depuis l’URL suivante :
Il n’existe donc à mon sens qu’une seule explicationprobable :
La défense tient à régler le problème sans en aborder sonexhaustivité sur le fond social du problème bien évidemment avec l’accordtacite de certaines autorités administratives ou politiques qui tiennent àrégler le problème aussi rapidement que le TA de NICE qui a démontré sonfavoritisme dans cette affaire en usant d’un MOP de dernière minute pourannuler des années de procédure.
Dans tous les cas, je tiens à vous faire parvenirl’intégralité des pièces des deux dossiers depuis 2001 afin que l’ensemble demes droits soient respectés comme le prévoit le CJA auquel personne ne devraitpouvoir se dérober par certaines astuces procédurales.
Veuillez agréer Monsieur le Président l’expression de messalutations distinguées.
VERDI Patrice
PS : IL existe une classification des Fonctionnairesà CANNES :
Ceux qui commettent des délits à caractère sexuel et quisont inculpés ou pas à moyen ou long terme.
Ceux qui dénoncent des crimes à caractère sexuel et quiperdent curieusement toute fonction sociale peu de temps après.
PS2 : Je me réserve le droit de diffuser cet articlesur le net afin que les responsabilités de chacun soient établies dans cedossier.
GENDARMERIE NATIONALE : UNE AFFAIRE D'ETAT
Posted on : 01/20,2010

Monsieur VERDI Patrice Mandelieu le 20/01/10
à
Monsieur le Commandant LUHERN
Gendarmerie Nationale
675 Bld des Ecureuils 06210 Mandelieu La Napoule
Tel : 04 93 49 27 97 Fax : 04 92 97 72 99
Monsieur le Commandant,
Jeviens de prendre connaissance de la convocation de ce jour à laquelle je nepeux me rendre pour des raisons de santé.
J’ail’honneur de vous écrire afin de vous faire part de mon étonnement concernantla convocation du Gendarme MINGON de THEOULE SUR MER car le problème semblaitavoir été réglé définitivement d’après les déclarations claires du MDLCMAILLARD qui soulignait précisément en quelques minutes l’aspect mineur duproblème évoqué par mon épouse et mes parents convoqués initialement le22/09/09 à la Brigade de Gendarmerie de MANDELIEU.
Ilsemble donc qu’une mise au point soit exigée de nouveau par certaines personnesqui souhaitent apparemment en découdre une fois de plus par l’intermédiaire desservices de Gendarmerie et en font donc une affaire d’ETAT mais oublientcertainement qu’une caméra de surveillance de 360 degrés se trouve face auparking ouest de l’école primaire Marie Curie et prouve donc irrémédiablementque mon épouse a été bloquée intentionnellement puis insultée et menacée entrele 15/09/09 et le 18/09/09 par les plaignantes mais aussi et surtout par unindividu Brun de type Européen d’une taille de 185 cms environ, d’un poidsapproximatif de 95 kilos qui présente la particularité d’être tatoué avec desmotifs de couleur sur les deux triceps et se trouve donc être une relation dequalité des plaignantes qui ont utilisé cet énergumène pour menacer mon épouseet ma fille âgée de sept ans pendant plusieurs jours à la vue et au su de tousy compris des Fonctionnaires de Gendarmerie qui amènent régulièrement leursenfants dans cette école et démontrent quotidiennement les liens amicauxparticuliers qui se sont noués avec toutes ces bienveillantes mères de Famille.
Deplus, les déclarations précédentes ne font part à aucun moment de l’usagerégulier de la place handicapée sur le parking de cette école élémentaire grâceà l’attitude complaisante systématique de l’administration scolaire représentéepar sa Directrice Madame PIERRE pour les plaignantes qui n’ont pas la carteréglementaire que je possède en l’occurrence pour transporter mon frère adultehandicapé mais usent et abusent de cet emplacement bien particulier.
Tousces dysfonctionnements et mon expérience policière m’amènent à penser que laGAV reste la seule arme que ces plaignants souhaitent me faire appliquer parvos services ou d’autres car la complicité sociale est palpable et probanteentre toutes ces personnes qui tendent à me voir disparaître de cette communepar des moyens judiciaires démesurés.
Jepréfère donc éviter toute bavure potentiellement probable qui ne couvrirapersonne en aucun cas car nous savons que le problème n’est certainement paslié à la circulation des véhicules devant cette école mais plutôt àl’hypocrisie du système qui tend à détruire socialement ma famille depuis dixans en utilisant des personnes sans aucun sens moral.
Jevous prie de croire Commandant LUHERN en l’expression de mes salutationsdistinguées. VERDIPatrice.
PJ : TROIS CERTIFICATS MEDICAUX BONNES FETES A NOS AMIS LES POLITIQUES
Posted on : 12/08,2009
J'ai pris connaissance de l'histoire de Mme Maria-Pia MAOLONI et de ses petites filles Fiona et Milla ANTONINI sur Internet.
Je suis stupéfait d'apprendre que ces 2 petites filles enlevées en Italie, sont, à ce jour, séquestrées en Belgique par leur famille paternelle, suspectée d’abus sexuels sur celles-ci.
Leur maman, Maria Pia MAOLONI, n'a plus de nouvelles depuis plus de 1020 jours.
De plus, la famille maternelle qui réside en Belgique ne peut avoir contact avec Fiona et Milla.
Je dois vous dire que j'ai du mal à comprendre pourquoi Fiona et Milla sont aussi bien privées de contact avec leur maman et avec leur famille maternelle depuis autant de temps.
J'ose espérer que vous pourrez m'éclairer sur la question.
Cordialement,
VERDI Patrice
34 Rue René Dunan
06400 CANNES FRANCE
PS : Je suis un ami de Monsieur Marcel VERVLOESEM, son destin semble lier à la part de pédocriminels qui se trouvent de toute évidence au sein de nombreuses institutions politiques ou gouvernementales Françaises, Belges ou Européennes.
Vous ne le saviez pas ?
Maintenant vaus le savez et tout le monde saura que vous devenez les complices de la détention et des tortures de Monsieur Marcel VERVLOESEM à Turnhout en Belgique.
Pédophilie à Cannes sur GOOGLE ou tout autre Moteur de Recherche.
PS3 : PASSEZ DE BONNES FETES.
Merçi ALBERT
Posted on : 11/24,2009
AFFAIRE ROCHE : Une Justice Qui Détruit Les Victimes Ou Les Bourreaux ?
Posted on : 11/24,2009



LES MURS DE LA HONTE
Posted on : 11/12,2009
Marcel Vervloesem en cellule d’isolement
Lorsque l’activiste Marcel Vervloesem, gravèment malade, à été transféré de la prison de Bruges vers la prison de Turnhout, tout le monde de son environnement a cruque son calvaire était fini a pour cause Le PSD (centre psycho social) de la prison de Bruges par qui il a été mené en bateau pendant des mois. Il leur a fallu 3 semaines avant de bien vouloir transférer son dossier au PSD de laprison de Turnhout.
Le docteur Mol, directeur-général du service de santé pénitentiare du Ministère de lajustice de Bruxelles, à qui il a fallu presque deux mois afin de transférer le dossier chirurgical de Marcel Vervloesem du centre médical de la prison de Bruges vers celui de Turnhout.
Une fois tous les dossiers et rapports arrivés à bon port, voilà que les choses tournent à nouveau mal.
Bien que Marcel Vervloesem entrait en considération pour un accompagnement ambulatoire avec l’équipe du professeur-psychiatre Cosyns de l’institution universitaire à Anvers, et que le PSD de la prison de Turnhout était déjà le 8 août 2009 en possession de toutes les pièces nécéssaires, l’affaire continuait à traîner.
Même quand le collège du personnel de la prison de Turnhout à dit qu’ils n’avaient aucune objection à ce que l’équipe du docteur Cosyns, en accord avec le PSD établisse un plan d’accompagnement, rien n’avancait.
Le PSD de la prison de Turnhout prétendait que docteur Cosyns n’avait pas encore répondu à ses lettres vu que le docteur Cosyns était en vacances, etcétéra, etcétéra.
Tout comme le dossier du PSD en matière de demande de congé pénitentaire, ou jour de sortie, surveillance électronique, mise en liberté provisoire pour raison médicale,rien n’a été fait.
Marcel Vervloesem craint que toute action entreprise auprès du PSD de la prison de Bruges, risque de se répéter à Turnhout.
Quelques semaines avant la date butoir, il semblait que le PSD n’avait pas encore finalisé son rapport.
Le Ministre de la justice De Clerk fût avertit à plusieurs reprises des difficultés rencontré avec le PSD, ces avertissement n’ont apporté aucun résultat.
Marcel Vervloesem expliqua les problèmes rencontrés avec le PSD dans une lettre adressée à l’asbl Werkgroep Morkhoven, publiée sur le site internet de l’asbl.
De cela a résulté qu’un Erwin Boosten, psychologue du PSD de Turnhout, furax convoqua Marcel Vervloesem dans son bureau et l’insulta sans nom.
Boosten lui a dit que l’accompagnement ambulatoire que Marcel Vervloesem attend depuis trois mois est une mauvaise idée, et qu’il y veillera personnellement à ce que les visites et la correspondance soit restreinte. Il exiga que Marcel avoue « les faits » pour lesquels il a été blanchi.
En une fraction de seconde tout espoir de Marcel Vervloesem fût anéanti, ce qui a mené à une aggravation de son état de santé. Il ne voit pas comment sortir de cette situation, et pense inévitablement au suicide.
Le Werkgroep Morkhoven en avertit à nouveau le Ministre De Clerk.
Il y a quelques semaines des lettres de la fille de Marcel Vervloesem et de l’activiste Yvonne van Hertum une collaboratrice Hollandaise ont été retenues.
Une fois deplus le Ministre De Clerk en fût avertit.
Hier trois jours avant la date butoir Marcel Vervloesem reçu enfin le rapport de conseil de la direction de la prison de Turnhout établit par le PSD.
Le rapport est négatif sur toute la ligne. Le service psychosocial assure qu’un congé pénitentiaire est impossible, « parce que cela remettrait Marcel Vervloesem dans le milieu de la lutte contre la pédophilie, où les faits se sont déroulés».
De même, selon le rapport, l’acteur Jo Reymen, qui soutient Marcel Vervloesem indépendamment de l’asbl Werkgroep Morkhoven, serait une personne « qui fait partie du milieu de la lutte contre la pédophilie, milieu dans lequel les faits se sont déroulés».
Le rapport refuse toute considération que Marcel Vervloesem puisse rendre visite à sa fille et ses petits-enfants, « parce que cela pourrait inquiéter les ‘victimes’de l’entourage ».
Il a été évoqué que les « possibles » contacts avec les médias pourraient inquiéter les victimes (mais c’est surtout la révélation de la politique d’étouffement autour de l’affaire de pornographie infantile de Zandvoort qui inquiète certains politiciens).
Cela aussi pousse Marcel Vervloesem au désèspoir.
Par soi-disante mesure de sécurité Marcel Vervloesem a été mis en cellule d’isolement, sans télévision, ni radio, ni aération, avec un lit cloué au sol aussi qu’un pot sanitaire.
En céllule il ne recevait déjà pas à boire ni de fruits.
Il a été décidé de le mettre 7 nuit en isolation( toutefois s’il ne se suicide pas ou s’il ne subcombe pas à un infarctus.
Aucun rapport disciplinaire ne sera établit lui dit la direction de la prison de Turnhout,pendant que cette isolation inhumaine et martyrisante ne sera aucunement bénéfique à sa santé et aux nombreuses douleurs qu’il ressent.
On ne toucherait pas à son droit de visite, son droit à la correspondance, son droit de téléphoner, aux promenades journilières ( si sa santé le lui permettait).
———————-
Voici une liste avec plus de 20 hospitalisations d’urgence et d’opération subit par Marcel Vervloesem et qui ont été envoyés plus de 40 fois au Ministre De Clerk et ses collaborateurs de cabinet.
Le Ministre qui prône une justice « humaine et équitable » estime qu’un prisonnier ne peut être sorti de prison que 3 jours avant sa mort supposée bien qu’il autorise de temps en temps des execptions pour des raisons vagues.
1) Cancermalin – Hopital St H. Hart à Lier – 2 fois
2) Reins – 5 fois – Hôpital St Elisabeth à Herentals
3) Pancréas – 2 fois – 1X Hopital St H. Hart à Lier, 1X UIA d’Anvers
4) Urgence en soins intensifs pancréatite 2 –
5) Urgence en soins intensifs pancréatite 1 – UIA d’Anvers
6) Soins intensifs – Hôpital Fabiola à Sambreville/Hôpital St Elisabeth àHerentals 11X
7) Reins – Gasthuisberg à Louvain – 2 X
8. Disfonctionnement cardiaque opération à l’AZ Imelda Bonheiden – 3X
9) Soins intensifs diabétiques – Hopital St H. Hart à Lier 4X
10) Reins – Hopital St H. Hart à Lier – 1X
11) Opération du coeur – AZ St Jan Bruges – 1X
12) Dialyse rénale – Hopital St H. Hart à Lier- 1X
13) Hémorragie interne – AZ St Jan Bruges – 1X
14) Opération – AZ St Jan Bruges – 1X
15) Placement chirugical de tuyaux de dialyse – AZ St Jan Bruges – 1X
16) Soins intensifs cardio – St Elisabeth Turnhout – 1X
17) Urgence soins intensifs anémie (leucémie) – St Elisabeth Turnhout – 1X
18) Urgence soins intensifs – St Elisabeth à Herentals – 1X
19) Opération du coeur – AZ St Jan Bruges
20) En date du 14 mai 2009 il devait du à des problèmes cardiaque consécutif entre autre au manque de médication et un traitement insuffisant être admit enurgence à l’hôpital AZ Sint Jan Bruges mais la direction de la prison avec son avis négatif a réussi 1 jour avant l’admission sur base du rapport du PSD éviter cette admission.
2) Reins – 5 fois – Hôpital St Elisabeth à Herentals
3) Pancréas – 2 fois – 1X Hopital St H. Hart à Lier, 1X UIA d’Anvers
4) Urgence en soins intensifs pancréatite 2 –
5) Urgence en soins intensifs pancréatite 1 – UIA d’Anvers
6) Soins intensifs – Hôpital Fabiola à Sambreville/Hôpital St Elisabeth àHerentals 11X
7) Reins – Gasthuisberg à Louvain – 2 X
8. Disfonctionnement cardiaque opération à l’AZ Imelda Bonheiden – 3X
9) Soins intensifs diabétiques – Hopital St H. Hart à Lier 4X
10) Reins – Hopital St H. Hart à Lier – 1X
11) Opération du coeur – AZ St Jan Bruges – 1X
12) Dialyse rénale – Hopital St H. Hart à Lier- 1X
13) Hémorragie interne – AZ St Jan Bruges – 1X
14) Opération – AZ St Jan Bruges – 1X
15) Placement chirugical de tuyaux de dialyse – AZ St Jan Bruges – 1X
16) Soins intensifs cardio – St Elisabeth Turnhout – 1X
17) Urgence soins intensifs anémie (leucémie) – St Elisabeth Turnhout – 1X
18) Urgence soins intensifs – St Elisabeth à Herentals – 1X
19) Opération du coeur – AZ St Jan Bruges
20) En date du 14 mai 2009 il devait du à des problèmes cardiaque consécutif entre autre au manque de médication et un traitement insuffisant être admit enurgence à l’hôpital AZ Sint Jan Bruges mais la direction de la prison avec son avis négatif a réussi 1 jour avant l’admission sur base du rapport du PSD éviter cette admission.
Toutes ses hospitalisations d’urgence ont eu lieu pendant l’année d’emprisonnement de Marcel Vervloesem à la prison de Turnhout et la prison de Bruges.
DIFFUSEZ, PUBLIEZ CE MESSAGE. PROTESTEZ CONTRE CE TRAITEMENT INHUMAIN !
Sauvons Monsieur Marcel VERVLOESEM Avant Le 07/11/09
Posted on : 11/04,2009
Modèle de lettre à envoyer en urgence aux responsables politiques internationaux :
DETENTION INHUMAINE DE MARCEL VERVLOESEM
DIRIGEANTS A COMPTER DU 07/11/09
NE DEVENEZ PAS DES CRIMINELS POTENTIELS
Les pressions et l’inertie du PSD, mènent Marcel Vervloesem vers le suicide
Marcel Vervloesem, qui nes’est jamais plaint de douleurs, malgré toutes les graves pathologies, dit àprésent qu’il souffre constamment de douleurs aiguës. La dernière étape étantsa mort programmée en prison, le ministère de la justice belge va jusqu’à luirefuser les soins, pour atténuer ses souffrances. Le comité de l’euthanasiea refusé de remplir sa fonction, qui consiste à préconiser les soins pouratténuer les douleurs insoutenables inhérentes aux maladies terminales.
Marcel aécrit à l’association Tevirepedo, qu’il ne peut plus supporter les incessantesmanœuvres de l’administration de la justice pour l’empêcher de bénéficier deses droits à soigner son cancer, son cœur, ses reins et son diabète ainsi queson anémie comme tout citoyen européen. Il n’y a pas droit, car marqué à laculotte de l’infamie, pour avoir eu l’outrecuidance de dénoncer depuis 11 ansles 90 000 petites victimes du réseau pédocriminel Zandvoort. Il n’a jamaisplié, ni aux cabales judiciaires, ni aux pressions, aux menaces, mêmel’expulsion de sa maison, pour prétendre justifier de lui refuser la libérationconditionnelle.
Pour lui iln’y aura ni congé pénitentiaire, ni de libération pour raison de santé, nilibération conditionnelle pour bonne conduite, ni bracelet électronique car ilgêne la pédocriminalité organisée en Belgique, semble t’il protégée par lesplus hautes instances de ce petit pays. Pour lui il n’y aura pas de soins, àmoins qu’il n’accepte de retourner à la prison de Bruges enchaîné comme unchien dans un fourgon-cage pendant 12h, sous prétexte de lui faire uncathétérisme cardiaque qui pourrait être fait près de la prison de Turnhout oùil se trouve. Le seul objectif était de le maintenir à Bruges, où il a étésoumis à la torture.
Il a subiles chantages aux soins les plus inhumains pour faire taire les sites Internetqui ne se soumettent pas à la censure et le soutiennent. Le comble duridicule a été atteint lorsqu’un jugement a refusé une libération souscontrôle électronique parce que ces sites dénonçant la justice étaient gérés aupremier étage du lieu où il aurait pu être accueilli pour y être soigné…
Il a étéincarcéré contre l’avis médical de neuf médecins dont des experts de justiceétant donné ses antécédents de santé: sept opérations majeures en ces dixdernières années: trois à cœur ouvert dont pour un double pontage cardiaque.Une quatrième opération au pancréas, une cinquième aux reins. Une sixièmeopération pour deux cancers et une septième pour un troisième cancer, enl’espace de dix mois.
Les tortureset refus de soins l’ont emmené six hospitalisations durant six premiers mois deson incarcération : cinq fois à l’hôpital universitaire St Jean de Bruges etune fois à l’hôpital St Élisabeth de Turnhout.
* 27 joursde cellule d’isolation au centre médical
* 2 jours soins intensifs: coma diabétique – réhydratation
* 5 jours en soins intensifs coma diabétique, cardiologie et leucémie(Turnhout)
* 1 demande d’euthanasie, suivie de tentative de suicide
* 1 opération cathétérisme cardiaque
* 1 opération des reins
* 1 opération hémorragie interne
* 5 dialyses
* 1 opération hémorragie
* 1 amputation de gangrène
* 4 transfusions de sang (3 litres)
* 2ieme tentative de suicide
* 1 opération pour quadruple cautérisation cardiaque
* 2 jours soins intensifs: coma diabétique – réhydratation
* 5 jours en soins intensifs coma diabétique, cardiologie et leucémie(Turnhout)
* 1 demande d’euthanasie, suivie de tentative de suicide
* 1 opération cathétérisme cardiaque
* 1 opération des reins
* 1 opération hémorragie interne
* 5 dialyses
* 1 opération hémorragie
* 1 amputation de gangrène
* 4 transfusions de sang (3 litres)
* 2ieme tentative de suicide
* 1 opération pour quadruple cautérisation cardiaque
Toutes lesinstances Belges et une centaine de parlementaires européens ont été informéesde la gravité de sa situation de santé et des chantages exercées sur lui. Certains ont renvoyé les mails trois mois plus tard avec la mention « non lu »de l’appel à l’aide : « alerte traitements indignes etinhumains d’un détenu belge » . Il n’y a eu qu’une réponselaconique et administrative de la présidente de la sous-commissiondes droits de l’homme, qui nous a informé que ses prérogatives étaientextérieures à l’Union et que ce problème relevait de l’État qui devaitappliquer la Convention Européenne des Droits de l’homme.
Mais pour le « chasseur de pédophilesautoproclamé » comme l’a si minablement appelé la presse belge en sontemps « pour hurler avec les loups » et qui se tait aujourd’hui encœur, il n’y a pas de droit sauf celui de réclamer que la mort abrège sessouffrances…
Les organisations,qui n’ont d’humanitaire que le nom, n’interviennent qu’à partir du moment oùcela n’est pas dangereux ni pour elles-mêmes, ni pour les puissants de cemonde. Nous n’avons eut aucune réponse des divers FIDH, LDH, CEDH, AmnestyInternational, CICR ou OIP.
Leservice « psychosocial » ou PSD a sciemment refusé d’envoyerson rapport en temps et en heure pour permettre à Marcel Vervloesem debénéficier d’un congé et d’une libération conditionnelle. Un psychologue, donton peut s’interroger sur le respect qu’il a de sa déontologie, lui aurait ditque le jugement devant décider de sa libération pour bonne conduite endécembre, serait reporté du fait que l’affaire était « trop sensiblepour les médias ».
De même, cepsychologue aurait reçu, avec le psychiatre Delander, le pouvoir del’administration de lui interdire tout courrier, communication téléphonique,visite et même de congé pénitentiaire, durant les trois prochaines années, siles « crapules » susmentionnées continuent à publier leurs articles.Ces pressions, émanant de la justice belge qui semble bien instrumentaliser desprofessionnels de la santé, dépassent l’entendement dans un pays qui se veutdémocratique.
Cepsychologue prénommé Erwin a dit à Marcel qu’il ne sera libéré, que s’il avoueles viols, notamment le viol de l’actuel Président du Conseil de la Police, quetous les tribunaux belges ont reconnus inventés.
Toutes cesmanœuvres ont pour but de le transférer à la prison de Bruges où il seramaintenu jusqu’au jugement dans l’optique d’obtenir encore une fois le refus delibération de Marcel Vervloesem pour l’y laisser mourir.
Imaginez cethomme extrêmement malade recevant ce genre de nouvelles de la part d’un hommecensé lui apporter un peu d’humanité et de compréhension, dans cet océan decruauté, n’aurait il pas envie d’en finir ?
On constatequelle responsabilité porte les intervenants sur la décision d’en finir deMarcel Vervloesem quant on sait que cette année n’a été qu’une succession depressions et manœuvres digne des pays les plus totalitaires et des époques lesplus noires de notre histoire. Quant on enlève à un homme tout espoir de mieuxêtre dans sa chair alors on le condamne à vouloir désirer la mort comme unedélivrance..
Nous nevoulons pas que Marcel Vervloesem se suicide et nous ne lui souhaitons pasd’arriver à ses fins car c’est bien ce que voudrait l’ensemble des personnesqui ne cessent de contrecarrer l’exécution des demandes de droit qui sontfaites pour ce détenu, ce qui prolonge sa détention et mette sa vie en extrêmedanger. Mais de toute manière nous continuerons à nous battre pour laprotection des témoins de la criminalité organisée en Belgique comme dans lesautres pays d’Europe quoiqu’il arrive à Marcel Vervloesem et pour faireconnaître l’enfer que réservent aux victimes et aux témoins des réseauxpédocriminels ceux qui s’en font les complices quant ils se trouvent à despostes de pouvoir.
LES AMIS DE L’association MARCEL VERVLOESEM-TEVIREPEDO
NOM :
PRENOM :
FONCTION SOCIALE ET/OU PAYS :
LISTE DES DIRIGEANTS INTERNATIONAUX A CONTACTER :
ADRESSES DES DESTINATAIRES POUR ENVOYER LA LETTRE:
DIRECTION FONCTION ADRESSE EMAIL
Mr BENSAIDATAOUFIK Directeur de l’aide à jeunesse et du service de protection judiciairede Mons (Belgique)
Mr DE VOSBernard Délégué général des droits et des intérets des enfants (Belgique)
dgde@cfwb.be
dgde@cfwb.be
Mr BARROTJacques Vice Président de la Commission Européenne
jacques.barrot@ec.europa.eu
jacques.barrot@ec.europa.eu
Mr DECLERCKStefaan Ministre de la Justice (Belgique)
stefaan.declerck@just.fgov.be
stefaan.declerck@just.fgov.be
Mme LAMBOTLaetitia Secrétariat de la Commission de la Déontologie, Direction générale del’Aide à la jeunesse (Belgique)
laetitia.lambot@cfwb.be
laetitia.lambot@cfwb.be
MmeONKELINX Laurette Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires sociales etde la Santé (Belgique)
info@laurette-onkelinx.be
info@laurette-onkelinx.be
Mr MELCHIORWathelet adjoint au Premier Ministre et Secrétaire d’Etat à la Politique desfamilles
info@wathelet.fed.be
info@wathelet.fed.be
Mr DE GUCHTKarel Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires étrangères
info@diplobel.fed.be
info@diplobel.fed.be
MmeDominique ROZENBERG Direction de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)
drozenberg@liguedh.be
ldh@liguedh.be
drozenberg@liguedh.be
ldh@liguedh.be
Mr JUANMIGUEL PETIT Rapporteur du respect des droits de l’enfant contre l’exploitationsexuelle et la pédo-criminalité
urgent-action@ohchr.org
tb-petitions@ohchr.org
1503@ohchr.org
urgent-action@ohchr.org
tb-petitions@ohchr.org
1503@ohchr.org
Mr Hans-Gert Pöttering Président duParlement Européen
Mme Roseline DEMOUSTIER Directeur général duService Public Fédéral de la Justice (Belgique)
Mr Jean GAUTIER Direction générale desaffaires Consulaires; Ministère des Affaires Etrangères
Mr Andrew DRZEMCZEWSKI Commission desquestions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée Parlementaire
Mr P.Nikiforos DIAMANDOUROS Médiateur Européen
Secrétariat Conseil des Barreaux Européens
Mme JosianePAUL Chef de service de la Direction générale
De la Législation et des Libertés et Droits
Fondamentaux; Autorité centrale
d’entraide judiciare Internazionale
en matière civile
De la Législation et des Libertés et Droits
Fondamentaux; Autorité centrale
d’entraide judiciare Internazionale
en matière civile
Mr Luis MORENO-OCAMPO Procureur de la CourPénale Internationale
AJE, Association des journalistes Européens/ section française
MrFrancesco CRISAFULLI Co-agent de la Cour Européenne des Droits de l’Homme
Mr SandroSIGGIA Ambassade italienne à Bruxelles
MrPOPONCINI Vice Consul de l’Ambassade Italienne à Mons (Belgique)
Mr FRATTINI Ministre des Affaires Etrangèresen Italie
Ministère des Affaires Etrangères, AutoritéCentrale italienne (Italie)
Mme Valeria PROCACCINI Ministero dellagiustizia; Dipartimento minorile (Italie)
Mr Italo ORMANNI Capo del dipartimento per
Gli affari di giustizia (Italie)
Gli affari di giustizia (Italie)
Mr PietroMARTELLO Vice capo dipartimento per gli Affari di giustizia (Italia)
Mr Giovanni Paolo NUVOLI Direzione generale delcontenzioso e dei diritti umani (Ministero della Giustizia italiana)
Mme MariaTeresa SARAGNANO Direttore generale della Giustizia civile (Italie)
PEDOPHILIE Et INJUSTICE : Sauvons FIONA Et MILLA De Leurs BOURREAUX !
Posted on : 10/30,2009

ACTION DE SOLIDARITE POUR AIDER FIONA ET MILLA
Bonjour,
ADRESSES DES DESTINATAIRES POUR ENVOYER LA LETTRE:
DIRECTION FONCTION ADRESSE EMAIL
Je suis Maria-Pia MAOLONI, maman de Fiona (10 ans) et Milla (6ans).
Cela fait plus de 1020 jours que je n’ai plus de nouvelles de mes enfants depuis le 19 mai 2007, jour de leur rapatriement ILLEGAL en Belgique (selon la décision de la Cour de Cassation à Rome, juin 2008) et confiées à leur père et grand-père pédophiles.
A ce jour, je n’ai AUCUNE réponse sur le devenir de mes enfants de la part des institutions belges. Je ne sais pas où elles se trouvent exactement et comment vont-elles, depuis déjà plus de deux ans et demi!
C’est pourquoi, je m’adresse à vous pour vous demander de participer, si vous le souhaitez à une action dite de « solidarité» dans le but que les institutions se mobilisent et m’apportent des informations concrètes sur la situation de Fiona et Milla.
C’est pourquoi, je m’adresse à vous pour vous demander de participer, si vous le souhaitez à une action dite de « solidarité» dans le but que les institutions se mobilisent et m’apportent des informations concrètes sur la situation de Fiona et Milla.
Le principe est simple, il faut envoyer le 8 de chaque mois une lettre déjà rédigée (juste à faire un copier-coller du modèle de lettre ci-dessous) à toutes les institutions nommées ci-dessous.
Plus nous serons nombreux à nous joindre à cette action, plus vous m’aiderez à savoir comment se portent Fiona et Milla et, également dans ma démarche de revoir mes petites filles au plus vite.
L’union fait la force, dit-on! En tant que citoyen, nous devons réunir notre énergie pour lutter contre la violence sur nos enfants. Le silence et l’indifférence sont COMPLICES des actes criminels infligés sur mes enfants.
Je vous remercie pour vos démarches qui représentent, à mes yeux, l’espoir que des valeurs d’humanité et de respect pour la vie existent encore chez certaines personnes qui ont le courage de les défendre.
Au nom de Fiona et Milla, je vous remercie infiniment,
Maria-Pia MAOLONI,
Maman de Fiona et Milla
« sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière »
http://sauvons-fiona-et-milla.blogspot.com
http://salvarefionaemilla.blogspot.com
Maria-Pia MAOLONI,
Maman de Fiona et Milla
« sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière »
http://sauvons-fiona-et-milla.blogspot.com
http://salvarefionaemilla.blogspot.com
MODELE DE LETTRE A ENVOYER:
J’ai pris connaissance de l’histoire de Mme Maria-Pia MAOLONI et de ses petites filles Fiona et Milla ANTONINI sur Internet.
Je suis stupéfait(e) d’apprendre que ces 2 petites filles enlevées en Italie, sont, à ce jour, séquestrées en Belgique par leur famille paternelle, suspectée d’abus sexuels sur celles-ci.
Leur maman, Maria Pia MAOLONI, n’a plus de nouvelles depuis plus de 1020 jours.
De plus, la famille maternelle qui réside en Belgique ne peut avoir contact avec Fiona et Milla.
Je dois vous dire que j’ai du mal à comprendre pourquoi Fiona et Milla sont aussi bien privées de contact avec leur maman et avec leur famille maternelle depuis autant de temps.
J’ose espérer que vous pourrez m’éclairer sur la question.
Cordialement,
NOM et PRENOM
Je suis stupéfait(e) d’apprendre que ces 2 petites filles enlevées en Italie, sont, à ce jour, séquestrées en Belgique par leur famille paternelle, suspectée d’abus sexuels sur celles-ci.
Leur maman, Maria Pia MAOLONI, n’a plus de nouvelles depuis plus de 1020 jours.
De plus, la famille maternelle qui réside en Belgique ne peut avoir contact avec Fiona et Milla.
Je dois vous dire que j’ai du mal à comprendre pourquoi Fiona et Milla sont aussi bien privées de contact avec leur maman et avec leur famille maternelle depuis autant de temps.
J’ose espérer que vous pourrez m’éclairer sur la question.
Cordialement,
NOM et PRENOM
ADRESSES DES DESTINATAIRES POUR ENVOYER LA LETTRE:
DIRECTION FONCTION ADRESSE EMAIL
Mr BENSAIDA TAOUFIK Directeur de l’aide à jeunesse et du service de protection judiciaire de Mons (Belgique)
Mr DE VOS Bernard Délégué général des droits et des intérets des enfants (Belgique)
dgde@cfwb.be
dgde@cfwb.be
Mr BARROT Jacques Vice Président de la Commission Européenne
jacques.barrot@ec.europa.eu
jacques.barrot@ec.europa.eu
Mr DECLERCK Stefaan Ministre de la Justice (Belgique)
stefaan.declerck@just.fgov.be
stefaan.declerck@just.fgov.be
Mme LAMBOT Laetitia Secrétariat de la Commission de la Déontologie, Direction générale de l’Aide à la jeunesse (Belgique)
laetitia.lambot@cfwb.be
laetitia.lambot@cfwb.be
Mme ONKELINX Laurette Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires sociales et de la Santé (Belgique)
info@laurette-onkelinx.be
info@laurette-onkelinx.be
Mr MELCHIOR Wathelet adjoint au Premier Ministre et Secrétaire d’Etat à la Politique des familles
info@wathelet.fed.be
info@wathelet.fed.be
Mr DE GUCHT Karel Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires étrangères
info@diplobel.fed.be
info@diplobel.fed.be
Mme Dominique ROZENBERG Direction de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)
drozenberg@liguedh.be
ldh@liguedh.be
drozenberg@liguedh.be
ldh@liguedh.be
Mr JUAN MIGUEL PETIT Rapporteur du respect des droits de l’enfant contre l’exploitation sexuelle et la pédo-criminalité
urgent-action@ohchr.org
tb-petitions@ohchr.org
1503@ohchr.org
urgent-action@ohchr.org
tb-petitions@ohchr.org
1503@ohchr.org
Mr Hans-Gert Pöttering Président du Parlement Européen
Mme Roseline DEMOUSTIER Directeur général du Service Public Fédéral de la Justice (Belgique)
Mr Jean GAUTIER Direction générale des affaires Consulaires; Ministère des Affaires Etrangères
Mr Andrew DRZEMCZEWSKI Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée Parlementaire
Mr P. Nikiforos DIAMANDOUROS Médiateur Européen
Secrétariat Conseil des Barreaux Européens
Mme Josiane PAUL Chef de service de la Direction générale
De la Législation et des Libertés et Droits
Fondamentaux; Autorité centrale
d’entraide judiciare Internazionale
en matière civile
De la Législation et des Libertés et Droits
Fondamentaux; Autorité centrale
d’entraide judiciare Internazionale
en matière civile
Mr Luis MORENO-OCAMPO Procureur de la Cour Pénale Internationale
AJE, Association des journalistes Européens / section française
Mr Francesco CRISAFULLI Co-agent de la Cour Européenne des Droits de l’Homme
Mr Sandro SIGGIA Ambassade italienne à Bruxelles
Mr POPONCINI Vice Consul de l’Ambassade Italienne à Mons (Belgique)
Mr FRATTINI Ministre des Affaires Etrangères en Italie
Ministère des Affaires Etrangères, Autorité Centrale italienne (Italie)
Mme Valeria PROCACCINI Ministero della giustizia; Dipartimento minorile (Italie)
Mr Italo ORMANNI Capo del dipartimento per
Gli affari di giustizia (Italie)
Gli affari di giustizia (Italie)
Mr Pietro MARTELLO Vice capo dipartimento per gli Affari di giustizia (Italia)
Mr Giovanni Paolo NUVOLI Direzione generale del contenzioso e dei diritti umani (Ministero della Giustizia italiana)
Mme Maria Teresa SARAGNANO Direttore generale della Giustizia civile (Italie)
RESEAUX PEDOPHILES : La Lutte Contre Une Pandémie MONDIALE !
Posted on : 10/21,2009
Il y a seulement quelques mois , la plus grande opération anti pédophiles sur Internet venait de se conclure.
170 personnes arrêtées, 14 enfants sauvés.
Tout a commencé en Australie, dans le Queensland, en 2006. La police découvre, par hasard, une vidéo sexuellement explicite montrant une jeune fille. L’enquête locale va se transformer en une des plus grandes opération anti pédophile de la planète. Une opération d’abord baptisée Koala, puis Joint Hammer.
Cette action va permettre de sauver 14 jeunes filles, dont certains étaient âgées d’à peine 3 ans. Environ 170 personnes ont été arrêtées de part le monde, plus de 60 étaient originaire des Etats-Unis d’Amérique. Sept réseaux dédiés à la pédo-pornographe, des Rings, ont été démantelés. « Et l’enquête est loin d’être terminée » confirme le service presse du Federal Bureau of Investigation(FBI).
Cette action d’envergure a été montée en partenariat avec le Department of Justice (DOJ), l’United States Postal Inspection Service (USPIS), l’U.S. Immigration and Customs Enforcement (ICE), la police Belge, Europol, …

Cyber chasseurs en marche
Tout a donc débuté avec les Autorités du Queensland. La vidéo qu’ils vont découvrir va être ciblée grâce aux langages des personnes filmées. Un dialogue en flamand qui va permettre de remonter la trace du pédophile, un belge. La police de la FCCU, Federal Cyber Crime Unit, va identifier et arrêter l’agresseur. Ce dernier va rapidement fournir sa source, un administrateur italien d’un ring pédo-pornographique. La Guardia di Finanza va mettre la main sur ce webmasteur et faire fermer son site Internet. 50,000 e-mails vont être saisis.

Des courriers électroniques qui vont servir d’ossature à l’opération Joint
Hammer. Europol va se cherche de traquer les pédophiles via 28 pays
européens, dont la France, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, … Parmi les
courriels, 11,000 ont été ciblés aux USA. 700 personnes ont été surveillées
à partir de cette base de données. Une surveillance mise en place, sur le
sol de l’Oncle Sam, par le FBI, l’USPIS et ICE.
L’enquête est toujours en cours, mais les principaux prédateurs sexuels considérés comme très dangereux ont été arrêtés. L’un d’eux, un américain du New-Jersey, qui caché dans son ordinateur pas moins de 130,000 images d’enfants. Il en produisait aussi avec sa fille de 9 ans. Il a été condamné à près de 20 ans de prison.

GUANTANAMO BELGE : Le Centre De Détention De BRUGES
Posted on : 10/19,2009

En jargon judiciaire et ennéerlandais, cela s’appelle l‘ »AIBV », à savoir la « sectionde mesures de sécurité individuelles particulières ». Enfrançais, cela pourrait s’appeler un QHS, quartier de haute sécurité. Pour lesprisonniers qui y séjournent en Belgique, l’endroit porte un nom plus simple :« Guantanamo ».
Le témoignage d’un jeune prisonnier deBruges, en Flandre, sur sa vie dans ce type de quartiers souterrains illustre,en tout cas, de manière brutale une pratique que peu de Belges connaissaient etdont la conformité aux droits de l’homme est, au moins, douteuse. AshrafSekkaki, 25 ans, est ce qu’on peut appeler une forte tête. Décrit comme trèsbrutal, il a à son actif une dizaine d’attaques de banques et plusieurs actesde violence. Il avait 16 ans quand un juge de la jeunesse s’est dessaisi de sondossier. Depuis, il n’a quitté qu’une fois la prison lors d’une cavale qui aduré cinq mois, en 2003.
Dans des lettres au quotidien De Morgen – qu’il afait sortir en violation des règlements -, le jeune homme se défend d’avoirjamais utilisé une arme. Mais son comportement, ses menaces et son obstinationont justifié son inscription sur la liste des détenus les plus dangereux duroyaume. Il est, depuis juin 2008, l’un des pensionnaires de l’AIBV de Bruges.Cette section que l’on atteint, selon des avocats, après avoir déambulé dansdes couloirs longs d’un kilomètre et entrecoupés de points de contrôle, a étécréée il y a près d’un an. Ce projet du ministre de la justice, Jo Vandeurzen,chrétien démocrate flamand, se voulait une réponse à l’évasion d’un autretruand célèbre. Et s’ajoutait au« régime extra » déjà envigueur et réservé aux auteurs de faits graves. L’AIBV compte 10 cellules –dont 6 sont actuellement occupées – et 31 gardiens. Elle aurait un équivalent àla prison wallonne de Lantin, près de Liège.
Dans ses lettres, Ashraf Sekkaki énumère les conditionsde sa détention : pas de contact avec l’extérieur, pas de courrier – pas mêmepour les cours qu’il suit -, pas de visites sauf celle, strictement réglementéeet surveillée, de son avocat. Il dit devoir subir deux fouilles corporellesapprofondies chaque jour, ainsi qu’une fouille de la cellule, un isolementcomplet de 23 heures sur 24 avec une « promenade » autorisée dans unesorte de cage grillagée, menottes aux poignets et aux chevilles. Le chauffagen’est pas allumé avant la fin du mois d’octobre. « Je me senscomme dans un laboratoire où l’on voudrait tester jusqu’où l’on peutaller », a expliqué le jeune truand.
Exagération ? « Non,il dit la vérité », affirme Me NathalieBuisseret, avocate de FaridBamouhammad, un autre locataire de la prison deBruges, voisin d’Ashraf Sekkaki. Un autre avocat,Sven Mary,décrit une situation « pireque l’enfer, hallucinante » oùl’on refuserait jusqu’à une brosse à dents ou des médicaments aux détenus. MeMary entend lancer prochainement une citation contre l’Etat belge. De son côté,le ministre de la justice s’est dit « abasourdi » non pas par le contenudes informations diffusées mais par la « mauvaisefoi » et « l’éloignementpar rapport à la réalité » dutémoignage. Pour M. Vandeurzen, l’expérience de l’AIBV est concluante etl’attitude des détenus à l’égard du personnel s’est améliorée.
L’instauration de tels quartiers n’estpas formellement interdite par la loi belge, d’ailleurs assez floue etappliquée par une administration qui jouit d’une grande marge de manoeuvre. Lasection belge de l’Observatoire international des prisons dénonce, elle, lefait qu’à la privation de liberté s’ajoute une « deuxièmepeine », assortie de mesures de contrainteparticulières. Et cela alors que la Belgique enfreindrait déjà la Conventioninternationale des droits de l’homme et les recommandations du Conseil del’Europe, notamment par la surpopulation carcérale. Le royaume compte quelque10 000 détenus pour 8 300 places disponibles dans ses 33 prisons.
En ce qui concerne la prison de turnhout et ladétention abusive de notre ami et collaborateur Monsieur Marcel VERVLOESEM ,nous devons préciser également que l’inapplication de l’article 72 de la loid’application des peines est l’expression d’une volonté politique de nuire auxdroits élémentaires de ce prisonnier politique particulièrement dangereux nonpas pour la société mais pour les réseaux pédophiles qu’il dénonce par le biaisd’un laxisme probant et volontaire du PSD.
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